Atelier – Imagerie médicale

Jeudi 3 avril : présentation et test des ateliers

Aujourd’hui, l’équipe du jardin des sciences est venu au lycée pour découvrir la finalisation des ateliers. Nous avons commencer par leur expliquer le choix de nos réalisations ainsi que le déroulement des ateliers. Ensuite nous avons tester nos ateliers avec une classe de première du lycée. 

Le déroulement des ateliers 

Premier partie de l’atelier :
Cette première partie est destiner à apprendre et a découvrir les différentes imagerie médical existantes et qu’il est possible de réaliser aujourd’hui.

Pour commencer l’atelier, les différents groupes d’enfants sont formé et chaque groupe se voit attribué 7 personnages et un classeur de renseignement contenant les informations importantes et les symptômes des différents patients.

La première activité, consiste a découvrir le fonctionnement de l’IRM. Pour cela, les enfants placent différents bonhommes patients dans un IRM, jusqu’à trouver le patient dont on remarque les organes à l’intérieur du corps. Ils doivent ensuite essayer de trouver ou se trouve la maladie et remplir la fiche patient de leur classeur. 

Pour l’activité suivante, les enfants en apprennent plus sur l’échographie. Une fois le bon patient trouver les médecins spécialistes doivent déplacer la peinture à l’aide de leur doit pour révéler  les organes et tissus du corps afin de localiser le maladie. 

Enfin, pour découvrir le scanner à rayon X, les enfants devaient se munir d’un fenêtre de visualisation et la passer sur le corps du patient. Ce déplacement permet de faire disparaitre la peau du patient afin de pouvoir voir uniquement les os et ainsi de repérer le problème de la personne. 

Seconde partie de l’atelier :
Cette seconde partie, nous fait découvrir une nouvelle technique d’imagerie médical qui est encore en cours de recherche.

Afin de mieux comprendre la nouvelle technique, il nous semblait important que les enfants comprendre à quelle l’échelle elle était utilisé. La première activité permettait de parler des nanomètre et du tout petit, qu’o ne voit pas à l’œil nu. Pour cela, les enfants avaient devant eux 8 cartes représentent chacune un objet ou un vivant (Tour Eiffel, planète, microbe,…). Le but est de créer des paires qui représentent la différence de taille entre un humain et un nanomètre.  

Un autre  notion importante à apprendre pour comprendre cette nouvelle imagerie est la luminescence. Un procédé qui permet au organisme et objet de renvoyer la lumière. Pour cela, les enfants avaient pour cette activité une lampe UV et un bonhomme patient. Le but étaient d’illuminer le patient pour faire apparaitre ses vaisseaux sanguins et ainsi voir ce qui était caché jusqu’à présent.  

Enfin, le dernier atelier, consistait à apprendre à classer les différentes imageries médicales selon les ondes qu’elles utilisaient. Les enfants avaient des images correspondantes à chaque type d’imagerie et devaient les replacer sur une frise en dessous de l’onde qu’elle utilise.

Les retours

– modifier la frise pour qu’elle soit plus juste et précise et l’utiliser en bilan
– revoir l’organisation des déplacements et répartition de groupe pour une même expérience

– créer un lien entre le jeu des ordres de grandeurs et le reste des ateliers
– garder les petits groupes pour éviter la frustration par manque de participation
– le fonctionnement des différents types d’imageries est facile à comprendre