La travel box

Démarrer un projet ensembles

Pour commencer notre projet de groupe, nous avons débuté une explication de nos différents scénarios, réalisés durant les scéances précédentes.

Suite à cela, 3 projets principaux ont retenus nos attentions :

• Sharebox dont le but était de rencontrer des créateurs dans un café et de découvrir leurs activités.

• BusBox, elle permettait de faire passer le trajet en bus plus rapidement.

• GuideBox, donnait des anecdotes ou des informations annexes sur des œuvres, pour d’avantage immergés les visiteurs dans leurs conception.

 

Le plus grand des soucis était que les personnes pouvais aller directement sur internet plutôt que d’aller sur la box, ou, les idées de projets étaient trop compliqué à achever.

Après différentes démarches et remise en questions, nous avons finalement penché sur un sujet écologique et le projet « BusBox » était le plus adapté à notre thème. Notre objectif n’était pas de critiquer les automobiles ou les actions humaines, mais à l’inverse, d’encourager et de féliciter les citoyens qui utilisent les transports en commun. Le partage de données, était un moyen comme un autre de récompenser ceux qui prenaient ces derniers.

 

La TravelBox

En effet, il y’a de nombreux impacts des transports routiers qui concernent l’air, l’atmosphère planétaire, le climat, les microclimats, l’eau, les sols, la flore, la faune, mais aussi la santé publique. L’exposition à la pollution particulière automobile, est comparable au tabagisme, puisqu’elle est un prédicteur de surmortalité et de cancer.

Notre projet part de cette sensibilité que nous avons développé face à ce problème environnemental. Il est important pour nous de valoriser les usagers des transports en communs, et dans notre ville, de valoriser les usagers du Tram.

Pour réaliser cela, nous avons utilisé la PirateBox. Nous avons réfléchi ensemble à ce que l’on pouvait apporter aux personnes prenant le tram, à quels informations cette population serait sensible. Nous avons d’abord effectué une mindmap en groupe où les idées suivantes sont ressorties : des compteurs de voyageurs, un tableau de comparaison (pourquoi il est plus intéressant de prendre le tram et non la voiture), des « infos malins », un chat, des scènes de films ou il apparait des transports en communs, des jeux, des vielles publicités pour les transports en commun, et des mêmes et Gifs.

Finalement, nous avons gardé uniquement quatre idées :

-le chat,

-une rubrique « infos malins »,

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-une rubrique « le top pourquoi c’est top de prendre le tram ! »,

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-une rubrique « extrait de film ».

(les vidéos ne peuvent être publiée pour des raisons de droits d’auteurs sur les plateformes YouTube et Vimeo)

Pour les infos malignes, nous avons effectué un travail de recherche sur l’histoire et la science du Tramway et du train, puis nous avons relevés les avantages du tram, et nous avons réalisées ensemble des mises en scènes photographiques de ces derniers. Enfin, pour les extraits de film, j’ai repéré les films populaires où des scènes importantes se déroulaient dans les transports en communs. Tous cela avec une touche d’humour, pour toucher un maximum d’usagers.

Notre mode de communication à été rapidement choisie, puisque l’idée des cartes à accrocher sur les barres de trams avaient été énoncés par Alexine dès les premiers cours. Nous étions sûr dès le début de l’utiliser comme seule outils de communication, puisque nous le trouvions efficace. En effet, il peut être réparti dans tous le tram, à la portée de tout le monde, et à la vue de tous les passagers. Nous avons d’abord choisi ensemble notre gamme colorée en prenant compte des coloris des trams Strasbourgeois. Joan l’a d’abord dessiné à la main, puis informatisé. Nous avons ensuite tous imprimé et contrecollé.

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Alexine, s’est occupé de la mise en place du site sur la « PirateBox », elle n’a pas rencontré trop de difficultés, sauf pour la lecture des films, que nous avons finis par résoudre.

 

Le test in situe

Après ces étapes, nous n’avions plus qu’à expérimenter notre « Travel box » in situe !! Au début très enthousiaste de partager nos infos malignes, nos blagues et notre bonne humeur aux passagers du tram, nous avons vite désenchanté…

Pour le test, nous sommes aller sur la ligne A au terminus d’Illkirch, jusqu’au terminus à l’autre bout de la ville (parc des sports), puis nous sommes restés dans sur la ligne A jusqu’à Homme de Fer, afin d’accéder à la ligne E à l’arrêt République, et nous sommes arrivés à l’arrêt campus Illkirch.

 

Nous nous sommes repartis en trois compartiments le tram, avec la Pirate Box au milieu du tram. Les gens passaient devant nos flyers, sans trop les regarder. Ils ont plus fonctionné au tram E, que dans le tram A car les barres étaient disposées différemment (voir photo).

Pourtant ce ne sont pas les couleurs, et la communication qui faisaient défaut, les enfants remarquaient ces flyers dès l’arrivé du tram. Cependant, nous aurions dû changer le texte explicatif et laisser seulement une phrase lisible au loin, qui incite à se connecter au réseau. Trois personnes ont essayé de se connecter, et nous sommes allés voir la dernière, qui n’as pas pu accéder au réseau. Les personnes qui prenaient le temps de lire les flyers les reposaient par la suite, sans sortir leurs téléphones.

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Scénario d’usage

 

En conclusion :

Notre projet est un échantillon de ce que l’on pourrait réaliser pour améliorer la sensibilisation aux transports en communs. En effet son but est de revaloriser les usagers de ces transports, qui ne se rendent pas forcement compte de leurs choix qui est pourtant très important.

Les revaloriser permettra une prise de conscience de l’importance de ses derniers, et aussi une sensibilisation aux non usagers de transports en commun, par le biais des expériences partagés.

Nous avons pensé, à la suite de notre expérience, dans un premier temps à l’installer sur une plus longue durée, pour avoir des résultats de test plus intéressant. Aussi, à augmenter notre Box en y mettant réellement des films, des jeux, et un espace d’échange plus important.

Ce test nous as permis de nous rendre compte de la difficulté de faire participer les personnes à nos projets, en dehors de notre école.