Présentation des membres du labo
Hautepierre c’est plus de 13 000 habitants dont 50 nationalités qui cohabitent dans un quartier de 179 km° construit dans les années 70.
Mais Hautepierre c’est aussi un terrain de jeu, un support de création et de fiction, qui nous permet de questionner et d’explorer les enjeux d’une vie de quartier, ses rites, ses dangers, notamment autour du feu, sujet particulièrement sensible au quartier, et d’interroger sa place dans un espace urbain de plus en plus dense au travers d’histoires, de fictions et d’expérimentations…
Guillaume Bretonnet – lien vers le site perso
Et si je ne m’en étais jamais sortis en dessin étant petit, que je n’avais pas fais un stage d’observation (plutôt par hasard) chez un graphiste ? Je n’aurai peut-être jamais tenté le bac arts appliqués, ni suivi ce BTS ? Je ne me serais peut-être jamais dirigé vers ce stage à Saint-Nazaire, qui lui même m’a dirigé vers Strasbourg, à l’In Situ Lab. Tout ça ne m’aurait pas amené ici, à ce projet, et maintenant que j’y suis, autant y aller !
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Simon Deneux- lien vers le site perso
Et si j’avais suivi un autre parcours que celui d’un BTS en design de produit à Nevers, ou que plus jeune je n’avais pas rencontré madame Goulois, ma professeur de musique de troisième, sans qui, je n’aurais jamais entendu parler de l’ESAAT (Ecole Supérieure Arts Appliqués et Textile), pensez-vous qu’aujourd’hui j’écrirais c’est quelque ligne ?
C’est en me posant ces questions que j’ai compris que ma place était bien ici, à l’InSituLab. Une rencontre amène une opportunité, un terrain, un projet.
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Valentin Garnier – lien vers le site perso
Et si ma professeur d’art au collège avait cru en moi, au lieu d’insister pour m’envoyer dans un bac pro que je ne voulais pas faire, est-ce que j’aurai réussi à intégrer le BTS Design de produits de Brest puis l’In Situ Lab par la suite ? Est-ce que ma motivation aurait été la même ?
Un BTS qui se situe dans ma région natale ; la Bretagne. J’ai commencé à croire en mes rêves quand je regardais l’horizon, où se mélange la frontière entre la mer et le ciel. Aucune terre visible, pourtant, même si le voyage est long et physique, il y aura toujours à l’arrivée un bout de rocher pour s’amarrer.
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Emma Bescos – lien vers le site perso
Et si enfant, je n’avais pas autant voyagé, découvert de nouvelles cultures, de nouvelles architectures, de nouveaux paysages ?
C’est avec cette envie de découvrir que je suis arrivée à l’In Situt lab en DSAA après un BTS en design de produits. Aujourd’hui je veux explorer d’autres terrains, rencontrer des personnes, m’enrichir de nouveaux projets. Cette année, c’est l’occasion de tester, de communiquer et d’expérimenter autour de la place du feu.
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Et si enfant, la multitude des histoires inventées dans la voiture, en rentrant des promenades à l’océan, avait marqué le début de quelque chose?
Puis plus tard à l’Université Bordeaux Montaigne, en licence de design, une rencontre, celle avec Pierre Bourdareau. Cette rencontre a-elle confirmé ma volonté de poursuivre mon intérêt pour le design en DSAA?
L’ouverture d’esprit et l’enrichissement de savoirs, acquis avec le temps, que ce soit en design ou bien même sur l’art en général, la sociologie et l’actualité, m’a permis d’adopter un design engagé.
C’est en expérimentant sur le terrain de Hautepierre, que j’espère questionner l’usage et les pratiques autour du feu.