7. Eclairons-nous / éclairez-vous. Qu’est-ce qu’on fait, où est-ce qu’on va ?

 

Pour répondre aux besoins des usagers face aux échanges qu’ils entretiennent, nous devons revoir les zones dites « critiques ». Parmi ces zones, nous retrouvons les zones de flux important où chacun est amené tant bien que mal, à devoir se frayer un chemin :

Les cyclistes sont livrés à eux-mêmes une fois les pistes cyclables interrompues et entament un jeu de slaloms sur leur parcours. Les piétons doivent rester vigilant et être capable d’anticiper l’arrivée éventuelle d’un vélo face à eux.

 Comment peut-on recréer de véritables zones de circulations sans reproduire des pistes cyclables ? Et cela notamment dans l’hyper-centre de Strasbourg. De plus, il est primordial de réinstaurer un dialogue entre les piétons et les cyclistes. Les conflits d’usage entre ces derniers restent encore trop courant. Il convient, non pas de trouver des mesures strictes mais, d’intervenir sur les relations qu’ils entretiennent.

Le bon déroulement des circulations commence par une prise de conscience personnelle : chaque usager est acteur de la circulation qu’il souhaite !

 

Pour que les piétons et les cyclistes redeviennent « amis », il s’avère indispensable de les intégrer au projet et de les pousser à cette prise de conscience.