Alexandre Le Guilcher

Peut on se passer d’usagers pour créer un projet ? Bien évidement que non ! Tout l’intérêt d’un projet est d’être fait pour quelqu’un et que ça lui corresponde. Ce qui me plait, c’est aller à la rencontre des gens, parler de leurs envies, de leurs passions. On en apprend beaucoup en faisant ça et en travaillant directement avec ces usagers,sur le terrain,  on est sûr de répond à un besoin. Ça tombe bien, c’est toute la vocation du DSAA In Situ Lab.

Pour mon diplôme, j’enquête sur le vin. Entant que jeune Bordelais, j’ai toujours baigné dans le vin. C’est un univers qui m’attire, m’interpelle et me donne envie d’en apprendre plus. Je souhaite créer un lieu en Alsace où le vin et la culture locale seraient à l’honneur. Je ne vous en dirais pas plus… Mais si vous voulez en savoir d’avantage, suivez moi !

C’est par ici

 

 

 

Marianna Poulet

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Rémi Poupinet

Les médecins font leurs métiers et les patients sont soignés. Les bibliothèques se fréquentent et les livres se lisent. Les élections se déroulent et un représentant est élu. Mais les patients n’ont-ils pas des douleurs qui échappent aux yeux des médecins ? Bibliothèque-archive ou au rythme du village ? Représenté mille citoyens ou mille représentations d’être citoyen ?

Si depuis le début de l’humanité, on semble avoir résolu beaucoup de problèmes autour de nous, celui de l’économie du facteur humain dans nos expériences persiste encore. Selon Rémi, la place du designer est d’interroger les situations, non pas « de problème » mais « d’opportunités », avec les usagers en formalisant leurs valeurs profondes. Investir leur terrain, définir ensemble la problématique-cœur, confronter des prototypes avec leurs attentes, ce sont autant d’opportunités pour comprendre leur écosystème et le transformer.

Alain Froehlicher

alain kakemonoblog

Un peu d’escalade, des balades en plein air, du calme, des lectures, une consommation locale et biologique, voici brièvement ce qui compose Alain Froehlicher, designer produit.
Son attrait pour la biodiversité en milieu urbain l’amène cette année à questionner notre rapport à la Nature en ville. Ses méthodes d’immersion terrain l’amène à rencontrer les futurs usagers et à tester ses propositions In Situ. Vous pourrez alors le rencontrer au détour d’une rue, en train de cueillir du pissenlit en vue de concevoir un guide pour les Nouveaux Sauvages.

Plus d’informations sur le projet ; c’est par ici

Chloë Dupuy

Consulter les usagers, se nourrir de leur expertise, pour ensuite concevoir des produits ou services adaptés à leurs besoins, voici des méthodes en lesquelles je crois. Les méthodes de l’In Situ Lab en somme !
Des exemples de projets ici : chloedupuy.com

Je me questionne cette année sur les pédagogies de l’école primaire : je les veux enrichies par la culture et l’entretien d’un potager, à l’échelle nationale, de manière institutionnalisée. Pour apprendre à faire ensemble, à planter, récolter, manger, mais aussi communiquer, chercher, s’étonner, activement.

 

Pour accéder au projet, cliquer sur l’image :151203 illu web