Lire la suite…

Peut-on boire différemment le vin ? C’est une question que je souhaite explorer

Avec l’aide de différents outils, je questionne les usagers sur leurs relations avec le vin.


 

Je bois…

WP_20151015_16_30_37_Pro

Écris ton histoire avec le vin : avec ce livret , où l’on peut changer les mots, les usagers décrivent leur habitude de consommation de vin. J’y découvre alors les plaisirs de chacun et leurs volontés de partager le moment de dégustation avec leurs entourages.

« Le vin est le patrimoine de nos régions »

« On le fait vraiment entre amis »


 

Où le boire ?

WP_20151015_11_25_18_Pro WP_20151015_15_43_08_Pro

A l’aide de nuanciers de couleurs et de matériaux, j’ai proposé aux usagers de créer une ambiance qui serait propice à la dégustation du vin. Certains matériaux reviennent régulièrement comme le bois où la pierre. Des usagers puisent dans leurs souvenirs pour se projeter dans des lieux qu’ils ont connus, avec lesquels ils ont une histoire.

« Ça me rappel chez mon grand-père »

« Le bois à un coté authentique » « Son renouveau est lié avec celui des vin et des personnes »


 

« Mais vous n’avez pas de verre à pied ? »

12167780_10207847260560615_798810890_n 12167756_10207847260960625_294275610_n

Proposer aux usagers différentes couleurs de vin à associer avec différents contenants : un vrai casse-tête pour certains. Ce jeu questionne sur nos habitudes de consommation et de dégustation. Chaque verre leur évoque une anecdote, un souvenir avec le vin. Cette expérience est une belle provocation pour les amateurs de vin mais qui a fait émerger de bonne discutions.

« Boire dans un verre comme ça, ça le banalise » « Tous les sens doivent être touchés ! »

« Il y a un coté élégant dans le verre à vin »

Natzwiller Vol.2 (en fait cette fois on est à Strasbourg)

Après notre première sortie à Natzwiller nous avons décider de nous « séparer » mais cette fois ci à Strasbourg.

Guillaume et moi voulions prendre connaissance de ce que pouvais représenter un tiers lieux, un lieu de co-working en l’occurrence. Le Shadock, espace multi-activité dédié à l’expérimentation, à la création et aux cultures numériques, accueil Alsace digitale, un de ces fameux centre de co-travail. Il peut accueillir une vingtaine de co-worker, la plupart sont indépendant mais des sociétés peuvent aussi s’y installer. 

Au premier abord l’ambiance est studieuse et pas comme nous l’imaginions à savoir plus fourmillante. Quoi qu’il en soit nous avons trouvé des personnes avec des profils différents pour partager leur vision de ce type d’espace. 

DSC_0005

Nous avons pu rencontrer un webmaster, un graphiste, et un ingénieur spécialisé en intelligence artificielle.

L’outil mis en place nous a permis de dialoguer en mettant en avant des verbes d’action propres à l’idée de collaborer.

Des avantages à ce type d’espace reviennent notamment sur l’idée des croisements de compétences au sein du lieux. A force de se côtoyer un sentiment de confiance s »installe au sein de l’espace et les liens professionnels deviennent parfois logiques. L’outil sera sûrement amené à évoluer vers une forme plus interactive.

DSC_0004 copy

Pour terminer nous avons rencontré Pauline Desgranchamp qui nous à aussi apporté l’idée que collaborer de manière transversale c’est, au contact des autres, transformer sa pratique, la faire évoluer.

Laboratoire de la démocratie

 

 

IMG_4271 (1)

Johan, Mathieu, Alice et moi-même, Barbara, formons le laboratoire du design de la démocratie. Ce jeudi 15 octobre, nous nous sommes rendus sur notre terrain, à la maison citoyenne du Neudorf. 

Afin d’ouvrir les possibles quant au devenir de ce lieu, nous avons imaginé une fenêtre mobile afin que les usagers puissent se projeter dans ce lieu. De l’intérieur, comme de l’extérieur, ils peuvent alors s’imaginer toutes activités dans cet espace, actuellement en chantier.

Après avoir discuté devant cette fenêtre sur l’avenir à la maison citoyenne, puis à l’Eurométropôle et au petit parc de la gare routière, nous nous sommes finalement placés en plein milieu de la place Kléber. Cette fois-ci, pas de médiateur, nous avons opté pour le rôle d’espions-observateurs, et avons simplement attendu les réactions écrites et dessinées des usagers. Une seule consigne : L’expression libre !