L’échange en publique est une pratique encore délicate, souvent pénible, où règne parfois une indifférence étouffante. Le numérique est un médium dématérialisant qui a pour promesse de réunir les gens. Mais lorsqu’il s’incarne sur le lieu, il exclut et perturbe ceux qui existent déjà.

Le numérique peut-il s’incarner au service de l’épanouissement humain ? Pour y répondre, nous avons choisi 2 axes d’hypothèses.

Forums hors les murs 

Le contexte urbain actuel place le citadin sous une posture passive. Certains souffrent d’un manque d’implication dans le dynamisme culturel et politique, aussi bien avec les autorités publiques que les citoyens L’outil numérique, principalement utilisé pour des besoins individualistes, gagne à être au service de la cohésion sociale et culturelle.
Ainsi, notre hypothèse invite à l’entraide, le débat et même l’action par les citoyens pour les citoyens

« Réenchanter le quotidien » 

Occupé par des intérêts fonctionnels, dans un flux constant, le citadin s’habitue à un quotidien de plus en plus morne.
Cet axe explore l’idée d’un dispositif pour rendre accessible un échange « poétique », « sensible », entre les corps, les comportements, en se jouant des rituels numériques de chacun. On souhaite proposer une expérience ou l’autre n’est plus étranger mais un compagnon.