Le Parc à  » 2 Temps « 

 

De la Cathédrale à l’Étoile …

Nous nous sommes retrouvés sur le parvis de la Cathédrale où nous avons pu directement observer qu’il s’agit d’un quartier hyper-touristique où de nombreux commerces, hôtels et restaurants sont installés, afin d’accueillir le flux constant de touristes venus de tous les horizons: Français, Allemand, Anglais, Espagnol, Chinois, … Pour les accueillir, différents organismes tel que l’Office de Tourisme et Batorama mettent à leur disposition des guides, cartes, … afin de faciliter la visite de la ville.
La « vedette de Strasbourg » justifie cet afflux de personnes. La Cathédrale fête ses 1000 ans et attise l’intérêt des croyants et non croyants. Le patrimoine architectural et culturel de ce quartier est très riche de par les maisons à colombages et les constructions en grès rose des Vosges. Le Palais Rohan, qui jouxte la Cathédrale, accueille de nombreux musées et conduit les passants vers le Pont du Corbeau, à l’entrée du quartier de la Krutenau.
La circulation au sein de la vieille ville est propice à la contemplation due au rythme lent imposé par les ruelles sinueuses et étroites.

On constate alors qu’au fur et à mesure de notre avancée vers la Place d’Austerlitz, les axes s’agrandissent, le rythme s’accélère. On passe du brouhaha des passants au vrombissement du trafic routier. De plus en plus on a affaire à un commerce de proximité plutôt qu’à des boutiques touristiques.

On a le sentiment de rentrer dans la « vraie ville », là où les Strasbourgeois vivent (habitations, école) , travaillent (banques, assurances), se retrouvent (café, restaurants, parc, place). Aussi un itinéraire touristique général s’identifie : Cathédrale / Place du Corbeau / Place d’Austerlitz / Place de la Bourse / Parc de l’étoile.

Arrivés à Étoile Bourse, le trafic s’intensifie. Il s’agit d’un véritable nœud intermodal où se croisent piétons, vélos, tramway, bus et voitures. Les gens se déplacent de manière rapide, sans pause. C’est donc un lieu de passage. Les seuls points d’accroches sont la mairie, l’office de tourisme et le centre commercial Rivétoile.
L’étoile est dotée d’un parc, poumon vert au milieu des axes de transhumance. Plutôt qu’un lieu de détente, le parc se résume à une zone de passage.
C’est un quartier nouvellement urbanisé, au carrefour du centre historique (Nord) , de l’écoquartier en construction (Sud Ouest) et du « Nouveau Strasbourg » aménagé sur les rives de L’Ill : Médiathèque Malraux, conservatoire de musique, cinéma, centre commerciale Rivétoile, logements (Est).

C’est alors que les notions de densité et de flux de population nous ont amenés à nous questionner sur l’importance du tourisme à Strasbourg et de quelles manières le numérique peut contribuer à optimiser la vie du touriste comme celle du Strasbourgeois?

 

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Visiting Strasbourg, we arrived in front of this Old Woman, as she was celebrating her 1000-year anniversary. A billion people from the whole world had gathered on forecourt to the party. Her laughter spreads everywhere in Strasbourg when the wind blows bellow her lace dress, like Marylin.

Not so far away, we met her Grand uncle : Mr Austerlitz, who embraces in his arms his whole family : the little ones are playing, the eldest are drinking. He helps lost people find their way with showing his sweet iron heart.

And finally, the Ugly Duckling from « La Place de l’Etoile » was left aside with Gandhi counterpart. No one comes and sees them any longer.

 

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CONSTATATIONS

« Cohabitation Riverains / Touristes« 

À partir de ces observations, des phénomènes et questionnements se sont dégagés tels que la cohabitation de plus en plus difficile entre touristes et riverains. En effet, il est difficile de circuler dans le centre en raison des touristes qui empêchent les habitants de se déplacer vers leurs lieux de travail (…). Nous nous interrogeons alors sur la volonté des Alsaciens à améliorer la relation et la communication avec les touristes. Existe-t-il un exode du centre-ville vers les banlieues ? Et si tel est le cas, est-ce dû à la surfréquentation du cœur historique ?
Aussi, nous nous demandons quelles sont les raisons de la venue des touristes à Strasbourg. La visite se limite-t-elle à une SUR-CONSOMMATION culturelle commerciale et pré-programmé ? Ou se poursuit-elle en échange social ?

 

« Désengorger le centre« 

La masse touristique s’ajoutant à la population Strasbourgeoise dans le centre-ville, engorge et empêche une circulation fluide. C’est un endroit surchargé, où tout se concentre surtout sur le plan culturel.
Nous nous interrogeons alors sur l’éventuelle délocalisation de cette masse au niveau de la place de l’Étoile, quartier en plein essor : le futur Strasbourg. La position stratégique qu’elle occupe, comme carrefour entre plusieurs pôles commercial, historique et administratif, lui confert un potentiel important dans un futur proche.
Nous allons questionner les usagers à propos de l’avenir de ce quartier, et de ce qu’ils souhaiteraient y voir apparaître. Serait-il judicieux de déplacer ces flux de circulation mais aussi cette charge muséale et cela grâce au moyens numériques ?

 

« Outils touristiques« 

Un tourisme de masse envahit Strasbourg, régulé par les offices de tourisme, qui transmettent des cartes avec des itinéraires pré-définis, des casques audio, ainsi que des guides parcourant constamment le même parcours. Dans l’ensemble, ces touristes utilisent ces mêmes chemins et surtout les mêmes outils. Il y a une frigidité dans la visite de la ville, qui devient vitrine. L’acte de visite devient mécanique, enfermé, sans possibilité et/ou envie de découverte aléatoire.
Nous nous demandons alors si le touriste souhaite accéder à une nouvelle manière de visiter ? Il serait intéressant de se demander combien de temps le touriste consacre à une visite, et combien souhaiterait-il en accorder vraiment ; et plus particulièrement pour les gens de passage ? Et de quelle manière le numérique peut lui apporter une réponse ?

BRISER LA GLACE

Afin de répondre à ces questions, nous avons mis en place des Outils Brise-glace. Il s’agit d’outils de communications, qui ont pour but de faciliter la prise de contact avec les usagers en jouant sur l’humour, le décalage, l’interaction. Sans les surprendre, les gêner, les choquer, nous avons réussis à attirer leur attention à l’aide d’un livret « La mêlée de portraits » (cf. poème Massin), d’une carte prospective sur le Parc de l’Étoile, et d’un panneau « Kutiliztu ? / Ouktéalé ? ».

« La mêlée de portraits »

Cet outil a pour but de mettre en évidence les types de relations entre Strasbourgeois et touristes. Pour cela, nous avons conçus un objet permettant de créer une phrase type, dans laquelle les usagers sont libre de choisir le sujet / verbe / adverbe / adjectif qualificatif.

A partir de cette phrase, la personne argumente son point de vue et nous permet de vérifier des constatations, voir nous orienter vers une problématique précise afin de développer le projet.

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Ici la confrontation entre observation et constatation a remis en question l’existence d’une tension entre riverains et touristes. Cependant, cet outil a servi à préciser un constat plutôt que d’apporter des pistes de projets.

 

Carte prospective sur le Parc de l’Étoile

Après nous être informé sur l’histoire de cette place devenue parking puis parc, nous avons voulu connaître l’avis des usagers, sur les futures utilisations qu’ils envisagent pour cet espace vert en perdition.

Pour cela nous avons créé un outil juxtaposant un plan du parc actuel et une image du parc schématisé, laissant libre court à l’imagination des usagers. Nous leur proposons de placer un post-it sur ce schéma afin de précisent l’usage qu’ils souhaitent faire de ce parc.

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Il s’agit en effet d’un espace à développer. L’ensemble des personnes interrogées ont confirmé qu’ils n’y prêtaient  pas attention, bien que cet espace ait les caractéristiques adéquates pour devenir un parc à part entière. Plusieurs usages du parc ressortent, notamment jeux pour les enfants, points d’eaux, équipements sportifs, jardin botanique / floral, kiosque, zone de repos / lecture, dispositif d’échange via le numérique (musique, livre, …), barbecue géant / table de pique-nique …

Aussi, il est primordial selon les usagers de réduire les nuisances sonores et de faciliter l’accès au parc (passerelle).

PISTES DE PROJET

 

À partir de l’utilisation de nos outils brises-glace, nos constatations ont été remises en question.

 

« Signalétique matérielle / immatérielle »

Tout d’abord l’idée que nous nous étions fait de la relation qui existe entre Strasbourgeois et touristes, s’est révélée fausse. Finalement les strasbourgeois sont contents, du moins satisfaits des venues incessantes des touristes. Exception fait du marché de Noël ou « on mets 45 minutes pour faire 10 mètres !! » Ils veulent que leur ville soit vue et revue. C’est davantage, les outils de visites qui sont critiqués. Les touristes ressentent le besoin d’être guidés afin de se déplacer. Il a été rapporté plusieurs fois le manque de signalétiques pour les piétons, afin de trouver les monuments suscitant un grand intérêt de nos curieux. L’usage du numérique pourrait alors se faire en complément d’une signalétique matérielle, servant à sortir « des sentiers battus ». Ces « plus » indiquent les « bons plans », les adresses de restaurants typiques, les activités environnantes (…).

 

« Le Kiosque 2.0 »

L’essentiel des activités touristiques présentes dans le cœur historique pose le problème de la sur-fréquentation de l’Île. Pour répondre à ce problème, nous voulons repenser la répartition de activités, notamment utiliser le Parc de l’Étoile, et ainsi établir un équilibre entre le quartier de la Cathédrale et le quartier Étoile-Bourse.

D’autre part, nous pensons qu’il est important de proposer aux habitants de Strasbourg un Parc ayant une réelle identité et pour cela il faut lui définir un usage. Notre module étant intitulé « la ville numérique », nous avons voulu y inclure cet outil afin qu’il serve à « d’enrichir » ses utilisateurs. L’idée du Kiosque dans le parc est apparue à mainte reprise. À cette infrastructure est venue s’ajouter l’envie d’y trouver un endroit où les usagers de parc pourraient partager et stocker des données relatives à la musique et à la lecture. En travaillant cette piste, nous nous sommes rendus compte de l’opportunité induite par la proximité du Conservatoire de Danse et de Musique et la Médiathèque André Malraux avec le Parc de l’Étoile. La liaison avec le Conservatoire de Danse et de Musique permet d’écouter « les pieds dans l’herbe » des répétitions ou concerts donnés dans l’enceinte du bâtiment (et ainsi tendre à démocratiser un type de musique qui donne l’impression d’être destiné à une partie de la population). Il en est de même pour la Médiathèque Malraux, les usagers du parc pourront lire, écouter, regarder des documents partagés par ce lieu de culture. Nous proposons ainsi de revisiter le kiosque en conservant sa dimension dynamique et populaire et en prolongeant cet aspect de partage grâce à l’utilisation du numérique : le Kiosque 2.0.

La semaine qui va suivre va nous permettre de tester ces hypothèses auprès des usagers en créant des outils brise-glace adaptés.

LE PARC IDÉAL

Afin de vérifier notre hypothèse de « kiosque 2.0 », nous avons mis au point un objet, qui fonctionne sur le principe du jeu de construction pour enfants. Cet outil schématise le parc de l’Étoile (2.0) avec en son centre le kiosque.

Étant donné la position du parc : centre de gravité des quartiers environnants, nous avons placé le kiosque en tant que principal point de rassemblement dans le parc.

Nous avons trié et répertorié, sur cet objet,  les activités qui nous avaient été données par les usagers lors de notre première rencontre. Le but était de faire jouer les usagers afin qu’ils créent « leur parc idéal ». En positionnant les formes autour du kiosque, les personnes choisissaient les usages ou installations qu’ils souhaitent voir apparaître dans le parc (jeux pour enfants, aménagements sportifs, point d’eau, passerelle entre Rivétoile et le parc, meilleure disposition de la végétation).

Aussi, nous leur demandions de répertorier les usages qu’ils voulaient voir apparaître dans le kiosque (connexion avec la médiathèque Malraux, pour lire des ouvrages public les pieds dans l’herbe, connexion avec la Cité de la Danse et de la Musique, pour écouter par un système électronique (web-radio ?) les répétitions des artistes, avoir une aire de spectacle permettant du théâtre d’improvisation, des répétitions en plein air, un agenda culturel muni d’une billetterie répertoriant les concerts, spectacles, pièces de théâtre qui ont lieu dans Strasbourg, une borne d’échanges de données entre usagers).

Chaque personne créait son espace. Nous avons ensuite traité les données recueillies afin d’aboutir au « kiosque démocratiquement idéal » dans le parc nouvellement aménagé.

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Le kiosque 2.0

– Connecté à la Médiathèque Malraux

– Connecté à la Cité de la Danse et de la Musique (webradio)

– Agenda culturel de Strasbourg, avec une billetterie intégrée

– Avoir une aire de spectacle au centre du kiosque

Le parc 2.0

– Aménagements sportifs (parcours santé, principe d’assise à pédale pour produire de l’énergie)

– Jeux pour enfants (toboggans, « pataugeoire », cabanes dans la forêt)

– Aménagement forestier (meilleure répartition des arbres, installation de haies basse et éventuellement de grilles

– Passerelle (liaison Rivétoile / parc)

– Petit point d’eau

– Quelques bancs, installation détente.

 

Les Résultats :

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RECHERCHE FORMELLE

En ce qui concerne la recherche formelle du kiosque, nous proposons de revisiter la forme traditionnelle, qui se veut carrée, circulaire voire octogonale. Pour se faire nous utilisons l’image de l’étoile pour plusieurs raisons.
Tout d’abord pour donner une identité forte à ce parc, mais pas seulement. Les branches de l’étoile, partant du parc et étirées proportionnellement jusqu’aux édifices environnants, donnent aux usagers des informations sur ce qui les entourent et deviennent alors des repères directionnels. D’un autre point de vue, les branches deviendraient des axes de convergences qui rassembleraient les gens venant des « 5  coins » de Strasbourg : au Nord, Cathédrale – Krutenau; à l’Est, Rivétoile, Médiathèque Malraux, Cité de la Musique et de la Danse et à plus grande échelle, Kehl; au Sud-Est, Neudorf; au Sud-Ouest, l’éco-quartier; et enfin à l’Est, la Communauté Urbaine de Strasbourg et les jardins Heyritz.

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Pour créer une unité avec les éléments déjà présent sur le Parc de l’Étoile, nous souhaitons reprendre le matériau recouvrant l’Office de Tourisme.


Le kiosque servirait de support aux différents dispositifs numériques, connectant ainsi le parc avec son environnement proche. Cependant nous voulons conserver les usages ainsi que l’atmosphère de festivité, regroupement et popularité émanant de l’idée du kiosque traditionnel.

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LE PARC À DEUX TEMPS

Nous avons choisis de ne développer qu’un aspect qui revenait de manière récurrente de la part des Strasbourgeois: le parc sera accès sur la CULTURE.

HISTORIQUE DU PARC

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ANALYSE DU PARC ACTUEL

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NOUVEL AMENAGEMENT

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EXTENSIONS ET MOBILIERS

Un kiosque alternatif
Nous avons cherché à donner une nouvelle interprétation du kiosque tout en conservant son atmosphère de festivité, rassemblement et partage. La toiture contemporaine fait écho aux facettes éclatées d’une étoile. Pour créer une unité avec l’existant, nous réutilisons le même matériau servant de façade à l’Office de Tourisme (tôle vernis epoxy). Les kiosques permettent accueillir lecteurs, amateurs de musique ou toute autres personnes à la recherche de calme et tranquillité. Les trois kiosques proposent des ambiances multiples en fonction de l’endroit où ils sont implantés.                                       toit-du-kiosqueSans-titre---6

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Des bancs connectés

Les bancs ont pour fonction de servir bien évidemment d’assise mais ils proposent aussi une autre fonction aux usagers du parc.

Le mobilier est un bloc de béton moulé dont une partie extrudée va permettre aux visiteurs de s’asseoir. Sa forme massive rejoint les bancs parsemés devant l’Office de Tourisme.
Un dispositif numérique est incrusté au niveau des accoudoirs : une connexion le relie à la Médiathèque Malraux proposant une multitude d’ouvrages libre de droit. Le dispositif donne accès la radioweb des étudiants de la Cité de la Musique et de la Danse. Il est ainsi possible d’écouter des morceaux du conservatoire à même le parc, les pieds dans l’herbe.
Les bancs sont disposés à différents endroits du parc : autour des kiosques ; dans des renfoncements, entourés par la végétation luxuriante ; et enfin dans la grande étendue d’herbe, au sud du parc qui de jour sert de vaste zone de repos et la nuit, occasionnellement reçoit concert et une foule de spectateur.

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Des bornes interactives

Le deuxième paramètre qui donne au parc de l’étoile une dimension numérique se définit par une mise à disposition de bornes interactives. Celles-ci proposent trois applications en lien direct avec la culture.

D’une part, il sera possible aux usagers du parc de venir consulter l’agenda culturel de Strasbourg et ces environs via cette borne. Des partenariats avec  » Strasbourg Curieux  » ou encore  » Coze  » mettent à jour quotidiennement les activités de la région.
D’autre part, une imprimante implantée dans la borne permettra d’imprimer à même le parc les billets des divers concerts, spectacles, …
Enfin, pour assurer un engouement à long terme autour du parc, une association regroupant les habitants des quartiers environnants se rassemble pour s’occuper de la communication concernant la vie du parc : manifestations, concerts, fêtes des voisins,… Ils proposent donc des « pass-culture » permettant aux habitants de Strasbourg comme les touristes de bénéficier de la culture musicale de ce point vert.

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Une signalétique lumineuse

Nous avons voulus illuminer ce parc à la végétation dense, pour cela nous avons déposer à intervalle régulier dans le parc des néons, avec des calques plus ou moins opaques qui crées une signalétique. Le jour, ceux-ci se devinent à peine ; la nuit, ils guident facilement pour trouver son chemin.
Dans cette idée de cheminement, nous avons créer une arche constituée de néons, surplombant la scène alternative et reliant les deux masses forestières. Cela permet donc aux gens de passages devant le parc d’apercevoir une lumière indirect, et invite. Cette structure rappelle la dé-fragmentation du toit du kiosque.

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COMMUNICATION AUTOUR DU PARC

Ce parc centré sur la culture présente deux identités : de jour et de nuit. Ainsi le jour il présente les activités offertes par les kiosques et les bornes : connexion avec la médiathèque, le conservatoire et l’agenda culturel. La nuit, il offre une scène alternative avec concerts et représentations.

Pour cela, deux identités se regroupent en une seule. Un parc à deux temps : un temps le jour et un autre la nuit. L’ensemble forme le parc et ses activités annexes.

Impression

 

Dans un premier temps, il faut communiquer auprès des étudiants du conservatoires de la musique et de la danse, présenter cette espace comme une place à potentiels multiples : des endroits pour répéter sans contraintes, pour s’exprimer et même avoir un public. Pour cela création d’affiches qui présentent les deux temps essentiels du parc et des flyers personnalisables qui pourraient être retournés à l’association qui gère le parc.

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Dans un deuxième temps, il faut communiquer auprès des habitants environnants. Leur présenter le parc tel qu’il est : un parc à 2 temps. Pour cela un dépliant, montrant l’avant de l’après, et celui-ci s’agrandit pour former une affiche montrant le parc et ses activités

 

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Exposition « Odycité – projet : Le Parc à 2 temps » du 17/10/2014

 

 

 

Un projet mené par Pauline CACHERA, Margot BONNET et Guillaume SALESSE.